Malgré une courte défaite 1-0 face à l’Atlético Madrid, Botafogo a validé son billet pour les huitièmes de finale de la Coupe du Monde des Clubs, profitant de sa meilleure différence de buts et du scénario favorable des autres rencontres du groupe B.
L’Atlético, conscient qu’un succès avec trois buts d’écart était impératif pour poursuivre l’aventure, a longtemps buté sur le bloc défensif discipliné de Botafogo. Le premier acte, pauvre en occasions nettes, a poussé Diego Simeone à faire entrer Antoine Griezmann dès la reprise.
Le Français a immédiatement dynamisé le front offensif madrilène, trouvant le poteau sur un tir croisé dès ses premières minutes. Plus tard, il parvenait à marquer en toute fin de match depuis l’intérieur de la surface. Mais ce but, bien qu’acclamé, arrivait bien trop tard.
Alexander Sorloth, meilleur joueur en termes de xG avant cette rencontre, a manqué une tête immanquable à six mètres. L’arbitre vidéo (VAR) a également été sollicité suite à une faute présumée sur Julian Alvarez, mais le penalty a été annulé en raison d’une faute préalable de Sorloth.
Julian Alvarez s’est montré très actif dans l’animation offensive et a constamment mis la défense adverse sous pression. Toutefois, la performance collective la plus marquante reste celle de Botafogo : rigueur, engagement et transitions rapides ont été les clés de leur qualification.
Les chiffres témoignent de la domination de l’Atlético : 23 tirs contre 7 pour Botafogo, avec un xG de 3.05, mais une finition peu efficace.
Botafogo termine donc deuxième du groupe B et affrontera Palmeiras, vainqueur du groupe A, samedi à 17h (heure de Londres) à Philadelphie. Quant aux Colchoneros, leur parcours dans ce tournoi s’achève prématurément.
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